Mes poèmes

Etre un leader C’est se dépourvoir de la colère Et accepter toute sorte de galère Pour que les autres soient pépères. Etre un leader c’est accepter de souffrir Sans avoir peur de mourir Pour que les autres gardent leur sourire Et vivent heureux sans penser au délire Un vrai leader est une personne courageuse Une personne qui ne craint d’aucune chose outrageuse Une personne qui est véridique Une personne qui est impartiale Une personne qui est sociale Bien qu’il soit dans un parti politique. Un vrai leader est comme un docteur Qui soigne tous les patients sans distinction. Un vrai leader est comme un sculpteur Qui donne à une pierre forme digne d’attraction. Un vrai leader est comme un père de famille Qui cherche à ce que sa famille soit toujours tranquille. Un vrai leader est comme une maman Qui organise son foyer soigneusement. _Boshirwa Melchisédeck Boshir Melcky ,  Poète Burundais Contact :  boshirmelcky@gmail.com  (Email)

Une surprise pour toi.  M on nom, c’est Joyeux Noel Une belle rose A besoin qu’on l’arrose. Quand je dis une belle rose, je veux dire toi belle fille Toi qui étincelles comme une étoile qui brille. Quand je dis : a besoin qu’on l’arrose, je fais allusion à un bon homme comme moi Qui te mignotera sans te causer des émois Un homme qui te fera plaisir Un homme qui te fera rire et sourire. Je t’appelle une belle rose que j’adore Et mon cœur te réclame et t’honore. C’est toi qui éteindras une flamme Qui s’est enflammée dans mon âme Et par là je serai toujours heureux et calme. Je te donne mon cœur Pour qu’il sorte toujours vainqueur D’une bataille contre la rancœur. Tu le protègeras contre tout ce qui peut le faire périr Et malgré n’importe quelle maladie, tu pourras le guérir. Tu es une reine de la beauté Digne d’un roi de l’amour sans cruauté. Tu es digne d’une couronne et d’une belle voile Car tu es une femme très belle comm

Depuis mon enfance j’avais la chance De gagner la vie sans échéance Mais au fur du temps, tout à changer à cause du manque de créance. Mon cœur est toujours fort        Il est toujours prêt à croiser le pire voire la mort Je voudrais toujours rire sans arrêt Mais je préférais vivre dans la forêt Où je dialoguerai avec la faune et la flore Car sur cette terre, il n’y a pas de vie indolore. J’avais soif de devenir un prêtre Pour vivre heureux sans que le Satan ne puisse me battre Mais il m’a fallu bifurquer Avant d’avoir la soutane pour défroquer. J’avais voulu devenir un officier ou un docteur Mais on me disait, si tu as fait les lettres, tu pourras devenir un cultivateur. J’avais voulu devenir quelqu’un d’autre Mais j’ai fini par découvrir qu’avant de devenir un apôtre Il faut apprendre à prêcher Non plus à pécher. Mais… je me demande qui je deviendrai Même si je suis un poète. Je pense qu’au cas où ma chance reviendrait Je serai s

Sur cette terre et partout dans l’univers Un enfant, un être à protéger contre les meurtriers et pervers Est un minerai rare Qu’il faut garder avec un cœur avare. Je dois toujours prêcher la valeur d’un enfant D’une façon différente dont je le fais pour un éléphant. Je suis obligé à enseigner partout que l’enfant est la source du bonheur Non plus la source du malheur. Il faut que tout le monde sache que tout enfant est un ange innocent A qui il faut toujours montrer un amour incessant. Un enfant est comme un objet de valeur Qui ne peut pas être exposé au voleur A coup sûr, un enfant est un saint inconnu Qui, dans ce monde, est toujours souriant et surtout ingénu. Un enfant ne doit pas être conçu accidentellement Mais il doit être conçu volontairement. Un enfant n’est pas enfanté pour être avorté Mas il est enfanté pour venir au monde et être réconforté. Un enfant n’est pas mis au monde pour croupir dans la misère Et vivre heureux par

Vivre c’est souffrir pour découvrir Vivre c’est rire et sourire malgré le délire. Dans ce monde sensible, chacun a toujours l’envie De savoir et de bien comprendre ce qu’est la vie Or, dans ce monde sensible, la vie n’a pas de sens. Elle est comme un turbin que chacun fait sans avoir  la récompense. Dans ce monde sensible, la vie est un mystère Tout s’acquiert d’une façon accidentelle, heureuse ou austère Or, dans ce monde sensible, la vie est bâtie sur la curiosité et le charme. Tout est à découvrir, le bonheur et le malheur, les joies et les larmes.                                                  Et alors, qu’est-ce que la vie? Ce mets délicieux qui nous assouvit? La vie est compréhensible et incompréhensible Parce qu’elle se fonde sur le possible et l’impossible La vie a plusieurs définitions Parce que chacun la définit suivant son intuition. La vie est une civière Où se transportent les pauvres et les riches, les moins forts et

J’utilise mon stylo Et je travaille toujours bien que je n’aie pas de boulot. J’écris à tout temps et on me demande ce que je vais avoir Et moi je me demande ce qu’on prétend recevoir En perdant le temps à analyser inutilement ce qu’on est capable de voir Sans penser à faire son devoir. Je fais la poésie et j’en suis fier Car elle me sert d’une affaire Que je dois toujours faire et refaire Sans pouvoir m’en défaire. Mon cher, si tu as cinq milles dans ta poche Et que tu es à la recherche d’un bar, sache que l’échec t’approche. Si par hasard tu as gagné un million Et que tu veux manger comme un lion Et épouser toutes les belles filles Tu auras toujours une vie qui vacille. Si tu ne veux pas faire un projet qui te profitera Tu seras toujours exposé à l’échec et tu regretteras. Mon cher, je veux te dire le succès Et je veux te le dire sans excès. Le succès n’est pas chose facile Il n’est pas la chance des imbéciles. Le succès

Mon pays, c’est le Burundi Il est mon refuge, il est mon paradis. Oui. Il est mon paradis terrestre Il sera toujours le refrain de toutes les chansons de mon orchestre. Le Burundi C’est là où je suis né Là où j’ai grandi Je l’aimerai pour toutes les années. Mon amour pour lui ne sera jamais l’énigme Déclarer sa beauté sera toujours l’essentiel de mon dogme. Je vous présente le Burundi Où on parle le Kirundi Le Burundi de nos aïeux qui étaient toujours unis. Le Burundi des Burundais toujours unis jusqu’à l’infini. Je vous présente le Burundi qui a fait grandir mon grand-père et mon père Le Burundi qui a fait sourire et chanter ma  grand-mère et ma mère Le Burundi qui a bercé mes sœurs et frères. C’est un pays digne de belles chansons de chanteurs De mots doux des poètes, non pas des mots fallacieux des menteurs. Je vous présente le Burundi, cœur d’Afrique Un pays d’un aspect attrayant malgré son passé tragique. Il a été un thèm

J'ai commencé à faire la poésie en 2011, quand j'étais en troisième des Lettres Moderne ( 3ème L.M. ) après avoir étudié la leçon de la poésie.  J’ai été inspiré pour la première fois par notre prof de cours de Français, Aimé MUDENDE, après nous avoir donné un devoir où chacun devrait composer personnellement un poème à déclamer en classe devant ses camarades. On choisissait l'un des différents types de poèmes de la poésie classique qu'on avait déjà étudiés et le choix de thème était libre . En seconde des Lettres Moderne ( 2nde L.M. ), ma poésie a commencé à prospérer petit à petit car ceux qui s’aimaient (les couples du lycée) qui me voyaient faire la poésie venaient me demander si je pouvais leur faire des poèmes romantiques qu’ils s’échangeaient par bout de papier. Moi, j’acceptais  à cœur ouvert  car c'était une façon de me spécialiser dans l'art poétique mais aussi de promouvoir et de faire valoir et faire savoir mon talent.  En première d