Mon histoire poétique

J'ai commencé à faire la poésie en 2011, quand j'étais en troisième des Lettres Moderne (3ème L.M.) après avoir étudié la leçon de la poésie. 

J’ai été inspiré pour la première fois par notre prof de cours de Français,Aimé MUDENDE, après nous avoir donné un devoir où chacun devrait composer personnellement un poème à déclamer en classe devant ses camarades. On choisissait l'un des différents types de poèmes de la poésie classique qu'on avait déjà étudiés et le choix de thème était libre.

En seconde des Lettres Moderne (2nde L.M.), ma poésie a commencé à prospérer petit à petit car ceux qui s’aimaient (les couples du lycée) qui me voyaient faire la poésie venaient me demander si je pouvais leur faire des poèmes romantiques qu’ils s’échangeaient par bout de papier. Moi, j’acceptais  à cœur ouvert  car c'était une façon de me spécialiser dans l'art poétique mais aussi de promouvoir et de faire valoir et faire savoir mon talent. 

En première des Lettres Moderne (1ère L.M.), j'ai continué à faire la poésie et j’ai rédigé beaucoup de poèmes mais d’une forme poétique classique parce que je n’avais pas d’idées sur la poésie moderne et je déplore d’avoir perdu certains de mes poèmes classiques puisque je les écrivais sur feuilles volantes qui étaient difficiles à bien conserver. Le premier poème que j'ai commencé à composer est un sonnet intitulé "Un enfant servile" et le premier poème que j'ai pu déclamer sur scène pour la première fois est un acrostiche (un poème dont les lettres initiales de chaque vers forment mon prénom Melchisédech) et il est intitulé "Le croyant».

Après la fin de mes études sécondaires, j'ai pratiqué cet art avec assiduité car c'est la poésie qui m'occupait pendant que j'attendais le début de l'année académique pour commencer mes études universitaires.

Avec la rencontre de différents slameurs des différents groupes de slam se trouvant dans la ville de Bujumbura, j'ai eu la chance d'évoluer dans l'art poétique et j'ai eu une grande soif de pouvoir continuer à poétiser.

Souvent je fais des poèmes pour les mariages et c'est ma poésie que j'ai dénommée "la poésie matrimoniale" ou "la poésie nuptiale". Avec la "scène slam" qui est organisée tous le deuxième Jeudi de chaque moi à l'Institut Français du Burundi, j'obtiens l'occasion de déclamer certains de mes poèmes.

Je suis au point de publier officiellement un florilège de mes poèmes car même si je reçois des occasions pour la déclamation je n'ignore pas que "les paroles s'envolent mais les écrits restent".

_Boshirwa Melchisédeck

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