La haine

Après les éclats de rire des vivants
S'entendront des cris de pleurs de nos ancêtres survivants
Il n’y aura jamais la fraternité
Tant qu’il y aura toujours des discriminations.
Il y aura  toujours une vie fatale pour l’éternité
Tant qu’il n’y aura jamais de la coopération.

La haine est comme une érosion
Qui emporte le sol d’amitié
Laisse la couche de dérision
Et répand les germes d’inimitié.

Je me demande
Pourquoi partout au monde
Il y a la haine et la division
Non plus l’amour et la cohésion.

Créer ici le chaos et creuser là la tombe
Voilà ce qui pousse à qu'on succombe.
Quand la haine apparaît
L’amour disparaît.
La fraternité s’éclipse et le chaos s'installe
Et bonjour une vie fatale.

La haine fait objet d'ineffables désaccords
Qui troublent nos cœurs et font trembler nos corps.
La haine nous pousse dans une vie sans évolution
Une vie  des problèmes sans résolution
Des problèmes qui nous visent et nous divisent
Qui nous ridiculisent et nous déstabilisent.

Pourquoi toujours la haine
Alors qu’elle nous entraîne dans une géhenne ?
Pourquoi toujours la haine et la jalousie
Non plus l’amour et la courtoisie ?

La haine est un véritable opprobre
Qui me trouble et me navre.
Elle est un miracle macabre
Toujours impossible comme le sourire d'un cadavre.

Si nous croyions que nous avons été tous créés à l’image de Dieu
Chacun aimerait son prochain sans vouloir lui dire adieu
Si nous voulions tous la solidarité
L'unité serait toujours la publicité de notre charité.
Si nous savions tous ce que c'est la fraternité
Vivre ensemble serait notre aveu d’amour jusqu'à l'éternité.
L’amour serait notre devise
Sans qu'il y ait ce qui nous divise.

Mettre de côté  tous nos soucis quotidiens
Nous fera faire toujours du bien.
Nous nous retrouverons toujours main dans la main
Sans oublier de nous serrer toujours les mains
En nous rencontrant en cours du chemin.

Sous un ciel toujours pur
Chacun aura soif de goûter à son bel azur.
Dans un climat du bon soleil
Tout le monde aura du bon sommeil.

Disons non à la haine

Afin que nous vivions sans peine.

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